L’histoire du fondateur de NIKE, suite et fin du livre

Déjà si tu n’as pas lu la première partie de l’histoire du fondateur de Nike tu peux la retrouver en cliquant ici.

On s’était arrêté à la moitié du livre.

Au moment où il crée réellement Nike et son logo.

Les difficultés du fondateur de Nike

Dans la deuxième partie il nous raconte finalement l’ascension de Nike avec toutes les difficultés qui se sont mises en travers de son chemin.

Et crois-moi il y en a eu un paquet.

Je me demande même comment il a gardé la motivation de continuer.

Phil Knight est un exemple de détermination hors du commun.

En fait je pense que ce qui l’a fait tenir c’est son rêve et son entourage.

Il dit qu’à aucun moment il a pensé qu’il deviendrait milliardaire avec Nike.

Il faisait les choses et résolvait simplement les problèmes un à un.

Sa banque lui fait défaut

Par exemple a un moment sa banque américaine l’a lâché.

Il devait payer un million de dollars et la banque n’a pas voulu payer le chèque.

Il ne voulait plus lui prêter le moindre centime ils auraient même prévenu le FBI pour fraude.

Tu imagines ?

Il bossait tous les jours comme jamais et sur une simple décision d’un haut placé qu’il n’avait jamais vu de sa vie, tout s’écroule.

Heureusement il travaillait déjà avec une sorte de fonds d’investissement japonais.

Alors il a pris son courage a deux mains et a avoué sa faiblesse à son interlocuteur de l’époque.

Il n’a presque pas dormi pendant plusieurs jours.

Les Japonais sont venus dans sa société pour analyser tous ses comptes.

Buck (Phil Knight) leur avait caché en plus qu’il avait acheté une usine aux Etats-Unis.

Les Japonais découvrent donc qu’ils doivent lui prêter 1 million de dollars en plus et encaisser les choses cachées par Buck.

Les Japonais sont allés voir la banque avec le patron de Nike.

Buck ne connaissait même pas leur décision.

Et là retournement.

Les japonais disent aux patrons de la banque qu’ils sont stupides.

Et ils s’en vont.

C’est le salut pour le fondateur de Nike. Un appel d’air qui lui permettra de respirer quelques jours.

Trouver une autre banque et reprendre le travail.

Tout son avenir de créateur d’entreprise a tenu à plusieurs décisions de ce genre.

Cela doit être horrible à vivre car cela ne dépend plus de nous mais des autres.

Tout ce que l’on peut faire à ce moment c’est les convaincre de continuer de travailler avec nous.

Ses rencontres avec les sportifs

Ensuite il nous raconte toutes ses rencontres avec les sportifs.

Comment il a su les convaincre de « marcher » avec Nike.

C’était un des moyens majeur de communication et marketing de Nike.

Et je pense que c’est toujours le cas.

On veut des Nike parce que nos champions en mettent.

Ils ont commencé avec Steve Prefontaine une star de l’athlétisme américain des années 70.

Tragiquement disparut dans un accident de voiture.

Ensuite vient le basket avec Michael Jordan, Lebron James, Kobe Bryant ou Boris Diaw.

Mais aussi le golf et le tennis avec Tiger Woods et André Agassi.

Son entrée en politique

Et enfin l’entrée dans les méandres de la politique avec un énorme coup de massue.

Un mec dans un bureau qui lui demande 25 millions de dollars pour des raisons d’importations douanière.

Le fondateur de Nike soupçonne d’ailleurs ses concurrents d’avoir initié la chose.

A l’époque et d’après mes souvenirs cela représente son chiffre d’affaires annuel !

Il commence donc le lobbying pour minimiser l’amende.

Il ne veut pas payer un centime car il ne trouve pas cela juste.

Nike c’est son bébé et il ne voit pas pourquoi son propre pays veut tuer son bébé dans l’oeuf.

A force de lobbying et de négociation il finit par payer dans les 7 millions (de mémoire désolé).

Puis ensuite le scandale des conditions de travail des usines chinoises.

Cela l’a aussi beaucoup marqué car il connaissait les conditions avant et après Nike et considère que les journalistes n’ont absolument pas parlé de ça.

Cela dit, il admet que ça lui a permis de développer des techniques pour améliorer encore les conditions de travail en Chine.

Le livre s’arrête autour de l’introduction en bourse de Nike.

Le moment où il devient millionnaire puis milliardaire.

Ce que je retiens de cette deuxième partie du fondateur de Nike :

– encore une fois sa détermination vers son idée folle, rien n’a pu l’arrêter. Tous les problèmes il les a balayés non sans difficulté d’ailleurs.

– à nouveau également sa capacité à s’entourer des bonnes personnes. Dans plusieurs cas il n’aurait pas pu s’en sortir sans le soutien de sa femme et de ses premiers salariés et amis devenus son comité de direction.

Ils aimaient s’appeler les « ButtFaces » ou faces de cul en français. Cela illustre pas mal l’ambiance de la société à l’époque. Il a su choisir également les bons partenaires sportifs. Nike est avant tout une histoire de passionné de sport et de chaussures.

– enfin je dirai peut-être son leadership « malgré lui » et son style de management. Il a toujours laissé énormément de possibilité et de flexibilité à ses salariés et bras droit. Une relation énormément basée sur la confiance, la passion et l’histoire.

Ce livre a été un réel plaisir à lire et je t’invite vraiment à lire des biographies de personnes qui ont marqué l’histoire.

Comme j’ai fini ce livre, est-ce que tu me recommandes une biographie à lire pour le mois de mars ?

Réponds tout simplement à cet article pour me le dire 🙂

A demain.

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fondateur de Nike

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